mardi 18 mars 2008

International

Une véritable politique de rayonnement international passe par un projet concerté et clairement déterminé sous-tendu par un renforcement de la politique d'échange, de coopération internationale et d'enseignement des langues.
Dans cette perspective, il conviendra de :

  • Multiplier les doubles diplômes avec nos universités partenaires. C'est le prolongement nécessaire aux échanges ERAMUS qui ont atteint leur vitesse de croisière mais qui demeurent essentiels pour assurer la Mobilité des étudiants.
  • Consolider les échanges entre enseignants-chercheurs dans le cadre des conventions ERASMUS et hors Europe : pour cela, mettre à leur disposition une soutien linguistique approprié. Ces échanges se font sur une à deux semaines de cours à effectuer dans la langue de l’Université invitante.
  • Décloisonner certaines conventions d'échanges et mettre un terme à celles qui ne sont plus actives.
  • Mettre en place des partenariats Erasmus Mundus avec les universités hors-Europe puisque ces échanges exigent au moins trois Universités dans trois pays différents, dont deux hors Europe.
  • Multiplier des « incitations-bourses » d’aide au départ pour les étudiants non boursiers aux revenus modestes (les plus nombreux !) par le biais du FSDIE et autres.
  • Insister sur la préparation linguistique à la Mobilité dès l’année de L1 et sur la nécessaire mise à niveau linguistique. A cette fin il faudrait étendre aux L2 Droit les groupes de niveau déjà mis en pratique en Economie et en AES.
  • Améliorer l’accueil des étudiants étrangers hors-conventions par un suivi plus personnalisé et une politique étendue et consolidée du programme FLE (Français Langue Etrangère).